Dossier de presse

 

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The Miller Companion to Jazz in Canada

Workshop-Concert, Internationale Sommerakademie, Böhlen, Allemagne 2009

AQUA, Vic Vergeat, 2009

Tempi con Variazioni, 2007

IdeaCity05 Conference Toronto

Le DC ...au parfum de tango

"Au Parfum de Tango" en tournée

Le DC Moontide

Le DC Chus

Le film "L'Espérance"

Le Cantique des Cantiques de Karen Young

Le trio à cordes Lipsky - René - Longsworth

Crime et châtiment

Concerto pour violon, scie à chaîne et meute

Le film "L'homme perché"

Le DC Kryptos de Andreas Vollenweider

L'exposition "Le Port"

Tricycle

Good News on the Crumbling Walls de Karen Young

Extasias de Robert Lafond

Le DC Unclassified

Éléments

Absolut avec Lucie Grégoire

Trois images pour flûte et ensemble de jazz

Sonos

En concert à New York

Mélosphère

Le duo Lipsky - Sato

En concert en Suisse




The Miller Companion to Jazz in Canada and Canadians in Jazz :

Article sur Helmut Lipsky par Mark Miller, texte complet
The Mercury Press

 

Workshop-Concert, Internationale Sommerakademie, Böhlen, Allemagne 2009

Virtuose : Helmut Lipsky, doté de forces quasiment shamaniques, dirigait par son jeu violonistique un concert final du Workshop, comme on avait jamais entendu auparavant à l'Académie de Böhlen. Helmut Lipsky, avide de produire la plus belle musique collectivement, attisait le feu de la passion musicale dans chaque pièce de nouveau. Il se produisait non seulement comme un violoniste brillant, mais aussi comme un compositeur extraordinaire... sa pièce Crime et châtiment fut un chef d'oeuvre d'une dramaturgie musicale, culminant dans un cri final, qui résonnait dans les oreilles d'un auditoire totalement exalté.
Tagesanzeiger Thüringen, Allemagne, 29 juillet 2009

AQUA avec Vic Vergeat, Premia, Italie 2009

Vic Vergeat, protagoniste d'un spectacle, dont la musique est la maîtresse, mais accompagné par la danse, la photographie et la vidéo, collabore entre autres avec un des violonistes les plus cités des dernières années : Helmut Lipsky, d'origine allemande mais qui a grandi musicalement en Suisse et aux États-Unis et qui est présentement professeur au Conservatoire de Montréal au Canada.
La Stampa, Milan, Italie, 12 août 2009


Tempi con Variazioni

Helmut Lipsky propose une musique qui oscille entre le jazz, le tango, les musiques populaires d'autres cultures... Un voyage à travers les époques dans un son très actuel.
C’est une "musique contemporaine" au même titre que certaines autres musiques, mais dont on saisi le sense parfois plus difficilement. C'est de la musique d'aujourd'hui, dans le sense qu'elle s'inspire de tout ce qui est autour. C'est essentiellement ça, faire de la musique de son temps; du temps de Beethoven c'était vrai, du temps de J.S. Bach c'était vrai, du temps de Helmut Lipsky c'est vrai aussi.
Je pense objectivement, qu'une musique qualifié d'aujourd'hui, c'est celle qui s'inspire de l'air du temps, et on peut vraiment considérer la musique de Helmut Lipsky comme étant inspiré de l'air du temps. En proposant son voyage musico-temporel, il s'assume comme un compositeur d'influences, comme tous les grands compositeurs dans le fond, comme tous les compositeurs dignes de ce nom.
François Dompierre, Émission Éclectique sur Espace Musique, Radio-Canada, 2007


IdeaCity05 Conference, Toronto

Entre les conférences, les artistes ont offert des éclats de musique la plus diversement passionnée qu'on pourrait s'attendre à entendre en une seule journée. Le jazz-tango fusion du violoniste d'avant-garde Helmut Lipsky a crevé le plafond...
Mike Drach, Digital Journal.com, Toronto, 24 juin 2005

Le prix de la "meilleure performance musicale" est allé à Helmut Lipsky, un violoniste établi à Montréal qui a déployé son style avant-gardiste avec l'accompagnement d'un pianiste (James Gelfand) au jeu innovateur.
David Silverberg, Digital Journal.com, Toronto, 26 juin 2005

Violinist Helmut Lipsky had only one problem during ideaCity - his CDs in the ideaCity Bookstore sold out immediately following his stunning presentation on stage.
ideacityonline.com


Le DC Helmut Lipsky et L'Art de passage "...au parfum de tango"

***** A Moment of Grace
This is the live recording of a concert which took place at the Bb club in Berlin, which includes pieces by Astor Piazzolla and original compositions.One can say that Lipsky and L'art de passage show very quickly that they play at the same musical level than Piazzolla himself and his ensemble - while having a very personal and original touch - and their own compositions as well, which prove of no lesser quality and interest.
Always breathtaking, their playing and versatility - be it in passionate, virtuosistic or humorous moments - and their improvisations impress at every turn.
I am a musician and have to say this is one of the best tango recording I have ever heard (even though it is way more than yet another conventional tango album).
Qwerty, Amazon.com, décembre 2009, texte original

* * * * Depuis 1999, le violoniste montréalais Helmut Lipsky (Mélosphère, Tricycle) travaille avec le trio de jazz allemand L'Art de passage, formé de Tobias Morgenstern (accordéon), Stefan Kling (piano) et Wolfgang Musick (contrebasse). Ils ont enregistré au club de jazz de Berlin le Bflat un disque traversé par l'atmosphère du tango. Astor Piazzolla a, comme nul autre, maîtrisé cet art de transition qui exprime le désir de l'homme de durer et son angoisse face à ce qui lui échappe. Le groupe interprète cinq de ses pièces dont Milonga Del Angel. Les compositions qui s'ajoutent expriment bien les affinités du tango contemporain avec l'impressionnisme et avec la musique ellingtonienne. La force de cette musique est de parvenir à exprimer les émotions les plus troubles de l'être humain tout en s'abandonnant au côté ludique auquel le tango invite. Sublime!
Denys Lelièvre, Revue Voir, Montréal, août 2005, lien vers le site Voir

Le violoniste canadien Helmut Lipsky rencontre le groupe allemand l'Art de passage et cela donne ce CD de concert fort abouti... Les autres thèmes écrits par les membres de l'Art de passage s'inscrivent tout à fait dans la lignée des thèmes d'Astor Piazzolla... avec le même sens du tragique, de la dérision, et de la vanité de toutes choses. On en ressort avec cet étrange sentiment de la jouissance du malheur. Typiquement argentin. Un tour de force pour un groupe germano-canadien.
Michel Bedin, Jazz Hot, La revue internationale du jazz, France," Compacts on Line", juillet 2005

L’art de passage - au parfum de tango : c’est le nouveau coup de génie de ces excellents musiciens, cette fois-ci avec le violoniste canadien Helmut Lipsky.
Kulturradio Revue, Allemagne, juillet 2005

Dès les premières mesures de "Gitango", l'archet attaque avec vigueur et conviction les cordes de l'instrument et donne le ton à une série de dix pièces qui composent cet album enregistré en direct à Berlin au branché club de jazz BFLAT... En se joignant aux musiciens réguliers de L'art de passage, Lipsky fait éclater les frontières de ce projet jazz tango, par la passion qu'il insuffle au son du disque : brut, original, sans mièvreries, ce qui a fait défaut dnas de multiples réalisations qui ont suivi la mort du grand compositeur argentin Astor Piazzolla... Le disque ...au parfum de tango lève le voile sur des interprétations renouvelées de ce musicien extraordinaire. Les quatre propositions musicales que nous offrent les membres du quatuor allemand, vieux de 18 ans, plongent au coeur de l'oeuvre de Piazzolla et nous en donnent l'essentiel..., une recherche de la pureté perdue à retrouver, même parfois jusqu'à la mort. L'accordéon de M. Morgenstern nous livre en ouverture des notes sensuelles suivies du langoureux passage de Oblivion pour se terminer par un Libertango magistral... Ajoutons à ces pièces les compositions de Helmut Lipsky, Crime et châtiment, témoins de son passage dans le monde du théâtre, et la Rêverie qui nous entraîne tout au long du fil coulant de l'archet, caressant en pizzicato les quatre cordes de l'instrument. Et lorsqu'on parle d'improvisation au sense large du terme, lorsque les langueurs du tango se mélangent au swing tempo du jazz, Sons et parfums aux quatre vents les unit tous deux..., laissant à chacun des protagonistes toute la place requise pour s'exécuter en liberté et illuster son talent d'improvisateur.
Vraiment, une pièce magique que cet album dédié aux simples gestes du quotidien. La musique de théàtre de tous les instants. Ici, L'art de passage fait preuve qu'il n'y a pas de grande ni de petite, mais seulement de la Musique. Le public en témoigne et l'oreille applaudit. Chapeau!
Michel Dupuis, Le Magazine Son & Image, Montréal, juillet / août 2005 , texte complet

Un très bel album qui nous propose des versions jazzées, innovatrices et assez virtuoses de la musique d’Astor Piazzolla. On y trouve également des compositions inédites toutes imprégnées bien sûr par l’émotion, la couleur et aussi, le parfum de tango.
Ginette Bellavance, Radio-Canada, Espace Musique, Musiques du monde, juin 2005

Le Nuevo Tango à saveur canado-allemande. Un disque qui tour à tour étonne, enchante, déroute, et finalement séduit.
Sylvia L'Écuyer, Radio-Canada, Nouveautés disques - Espace musique, juin 2005

...des très belles compositions originales et des adaptations très personnelles et convainquantes du répertoire d'Astor Piazzolla.
Gilles Boisclair, Radio Couleur Jazz FM, mai 2005

Un nouveau CD extraordinaire!
Jaymz Bee, Radio JazzFM, Toronto, mai 2005

Ah, le charme voluptueux du tango! Qui aurait cru que les tangos que mes parents dansaient, comme La Cumparsita et El Choclo, allaient devenir un tremplin pour le Tango Nuevo, un style musical aimé tout autant par les auditeurs que par les musiciens et les danseurs partout dans le monde. Ceci est incontestablement dû aux performances remarquables et aux talents d'auteur d'Astor Piazzolla, un compositeur prolifique dont les oeuvres aux facettes multiples ont inspiré la créativité d'innombrables musiciens.
"...au parfum de tango", fait avec l'extraordinaire violoniste suisse expatrié Helmut Lispky, présente une vision pleine d'énergie, joyeuse et parfois comique du tango. Lipsky et ses coéquipiers Tobias Morgenstern à l'accordéon, Sefan Kling au piano et Wolfgang Musick à la contrebasse sont de forts interprètes de classique qui prennent ces influences et les intègrent avec succès dans le tango. Il y a de nombreuses références à la musique classique dans leurs improvisations, qui contribuent à solidifier leur technique collective très imposante. Mais plus que tout, on ne veut que danser et sourire.
Enregistrés en concert de même qu'en studio à Berlin, les interprètes de même que leur public font preuve d'exubérance. Les pièces de Piazzolla sont stupéfiantes (particulièrement La Muerte del Angel) mais c'est Sons et parfums au quatre vents de Tobias Morgenstern qui est le sommet du disque. Cette pièce de 17 minutes est un morceau virtuose qui permet à chaque membre du groupe de s'amuser et de briller comme soliste.
Différents par de nombreux aspects, L'art de passage et Norteno sont deux groupes qui développent et élaborent le Tango Nuevo et spécifiquement les compositions d'Astor Piazzolla. Les deux disques devraient être entendus et respectés. Sortez vos souliers de danse et amusez-vous bien!
Tiina Kiik, The Wholenote.com / Discoveries, Toronto, juin 2005

Un violon qui donne des impulsions, une basse au son chaud et mesuré, un piano joué avec une grande richesse de nuance et un accordéon manié avec une haute sensibilité - le tout mis ensemble produit un tout à fait spécial "Parfum de Tango", dans le style de L'Art de Passage...
Tobias Morgenstern (acc.), Stefan Kling (piano), Helmut Lipsky (violon) et Wolfgang Musick (basse) montrent à quel point le monde du Tango peut être expressif, varié et original avec leur récent disque compact, enregistré en concert. Le quatuor prouve de façon impressionante combien il reste à découvrir dans ce style de musique, pourtant interprété depuis plusieurs décennies par d'innombrables musiciens.
Les quatre musiciens plaident pour le tango avec tellement de coeur et l'ornent aux endroits appropriés d'éléments jazz avec tellement d'habileté que des étincelles semblent se transmettre non seulement au public du concert, dont on peut entendre l'enthousiasme, mais aussi à l'auditeur à la maison - que ce soit dans des pièces de l'ancien répertoire du grand maître du Tango Astor Piazzolla ou dans de nouvelles pièces composées par les membres du groupe. Un merveilleux tango-jazz-fusion qui fait plaisir, tout simplement!
Peggy Thiele, Jazzdimensions, Allemagne, juin 2005, texte original

L'audience au club B-Flat répondait avec enthousiasme à la fin des pièces musicales, et ça avec raison. Même l'enregistrement de ce concert laisse l'impression que L'art de passage se délecte à l'opportunité de jouer une musique qui représente un si grand défi et qui crée un lien aussi fort et immédiat avec le public - une musique qui surgit du plus haut niveau de l'intellect et qui atteint les recoins les plus profonds du coeur.
Don Williamson, jazzreview.com, États-Unis, mai 2005, texte original

La musique peut raconter des histoires, mais aussi l'Histoire- par des références sonores et des citations, qui pareilles a de légers souvenirs se font sentir et puis disparaissent comme des odeurs. Ceci n'est pas nouveau, mais a été redécouvert d'une manière brillante par nul autre que L'art de passage, un ensemble qui, après 18 années d'existence, est presque considéré comme un synonyme de l'histoire de la musique de Berlin Est, au carrefour du tango, du jazz et des musiques du monde.
Un tel nom exige, en ces moments de transition, des expressions à double-sens, entre souhaits, transformation et réorientation . Les quatre solistes (aux côtés de Tobias Morgenstern, Stefan Kling et Wolfgang Musick, Helmut Lipsky du Canada est artiste invité au violon ) remplissent cette /obligation de facon convaincante et sans réserve: avec une incroyable virtuosité à l'accordéon, le violon, le piano et la contrebasse, avec une densité et une variété impressionnante dans les arrangements, qui transforment avec magie même des classiques établis du tango en des sonorités nouvelles, et non moindrement par leur courage au calme dans leur jeu. Ils ne construisent pas seulement sur...au parfum de tango un pont à travers le temps, ils établissent avec cette production un nouveau standard . L'atmosphère du disque est décidément influencée par la réaction du public lors du concert au légendaire Club B-Flat à Berlin en octobre 2003. On ne peut que féliciter tous les gens impliqués pour la décision de publier cet enregistrement .
Cathrin Alisch, Folker Magazine, Allemagne, mars 2005, texte original

Le groupe L'art de passage et le violoniste Helmut Lipsky ont enregistré cinq titres de Piazzolla et en plus cinq de leurs compositions, tout à fait à l'image et dans l'esprit du grand maitre.
La musique de ce quatuor n'est pas seulement techniquement sans faille - elle démontre en plus jusqu'à quel point la musique peut être comique, sans avoir la rigidité sémantique d'un texte. L'ironie est produite entre autres par l'utilisation de la technique de la citation musicale, introduite souvent par un motif que la pièce interprétée partage avec la pièce citée. La reconnaissance de la citation est tout autant source de plaisir que le contraste entre les deux mélodies contaminées. Par exemple, Caravan de Duke Ellington et la chanson de guerre "Brüder" ("Frères") arrivent en même temps au soleil et à la liberté, cohabitantà part égale.
Thomas Rothschild, Titel Magazin, Allemagne, nov. 2004, texte original

L'art de passage fut un groupe culte de la musique progressive en ancienne Allemagne de l'Est, pointant audacieusement vers une liberté musicale et idéologique avec des albums évocateurs et provocants. Le violoniste et compositeur canadien de renom Helmut Lipsky a découvert les membres du groupe en 1996, leur demandant de collaborer a son remarquable DC Moontide. Depuis, ils ont fait de nombreuses tournées ensemble au Canada et en Europe avec leurs interprétation très personnelle du style Tango Nuevo de Piazzolla. Enregistré en concert au légendaire club de jazz Bflat à Berlin, ...au parfum de tango capture toute l'énergie, la spontanéité créative et l'incroyable virtuosité de l'ensemble..
Amazon.com, commentaires de l’éditeur, États-Unis
, avril 2005, texte original

* * * * * Nous aimons ces musiciens extraordinaires et leur genre (qui n'entre pas dans des tiroirs, mais qui n'en a pas besoin!) depuis longtemps et nous espérons qu'ils continueront à faire de la musique ensemble encore souvent et pendant longtemps. Nous apprécions particulièrement les improvisations parfois osées et contemporaines de ce disque, l'ambiance un peu bruyante de cet enregistrement "live" nous dérange pas du tout!
Songtext.net, Allemagne, novembre 2004, texte original

"Au Parfum de Tango" en tournée

Helmut Lipsky and L’Art de Passage immediately cast their spell... Magic and mastery. The evening’s music was refined yet sometimes, suitably, raw with intense emotion... Together, Lipsky and L’Art de Passage create passionate sonic soulscapes and leave a lasting perfume.
Joyce Corbett, TheLiveMusicReport.com, Toronto, février 2007, texte complet

Ce n’était pas seulement un “parfum de tango” mais un bouquet enivrant provoquant l’accoutumance ce que le groupe “L’art de passage “, ensemble avec sa vedette invitée, le violoniste Helmut Lipsky, créait lors de ce concert fulminant... Cette crème de la crème de musiciens arrachait les auditeurs de la première pièce littéralement de leurs sièges avec son intensité... Plus doux que le rossignol chante le violon, plein de force dramatique , de puissance et pouvoir expressif s’intègrent les autres instruments - c’est une musique qui arrête la pensée et allume toutes les émotions... “L’art de passage” et Helmut Lipsky ne jouent pas une musique saisissable dans ce monde ce soir-là, mais une musique cosmique, assez bonne pour les dieux. Le public totalement ravi remercie avec une ovation debout et demande toujours plus. Ils jouent encore du Piazzolla avec des improvisations d’un grand raffinement qui auraient arraché chez le grand-maître lui-même des cris de bravo.
Südthüringer Zeitung, Allemagne, octobre 2004

Helmut Lipsky - c'est le musicien cosmopolite par excellence. Avec sa douce, chaleureuse et superbe touche, il balance avec maîtrise la liberté expressive et le formalisme structurel du tango. Il se délectait de la virtuosité du répertoire exigeant sans en faire étalage. Richesse mélodique sans exhibitionnisme - une approche musicale si rare et irresistible dans un temps où l'excès est si souvent et si facilement excusé au nom de la musique.
Mark Miller, The Globe and Mail, Toronto, juillet 2004, texte complet

La potion musicale de Lipsky est en pleine ébullition! Entre 10'000 et 20'000 personnes criaient pour demander des encores lors de son concert... Helmut Lipsky est une vedette "bona fide" sur la scène européenne en musique classique, jazz, populaire et worldbeat, et parfois toutes les quatre en même temps, comme c'est prouvé sur son disque primé "Moontide".
Greg Quill, Toronto Star, juillet 2004

Helmut Lipsky, violoniste et compositeur acclamé sur la scène internationale pour son interprétation innovatrice du tango et ses talentueux collaborateurs de Berlin étaient beaucoup appréciés par un public très attentif... Lipsky démontrait sa prouesse comme compositeur. Des éléments de la musique classique et tzigane s'ajoutaient à la variété et Lipsky est un bandleader attachant. Merveilleux!
Kerry Doole, Tandem News, Toronto, juillet 2004

Tango et jazz au plus haut niveau séduisent avec une superbe maîtrise musicale. Leur concept fusionne la passion et l'énergie rythmique du tango avec l'émotion et l'imaginaire de leurs propres compositions.
Toronto.com, juillet 2004

Le concert du violoniste et compositeur acclamé Helmut Lipsky est un hommage non seulement au tango mais aussi à Astor Piazzolla, qui a enrichi la forme avec des influences qui vont de Bach au jazz. C'est du tango minus le facteur kitsch!
Gord McLaughlin, National Post, Toronto, juillet 2004

...En effet, d'un bout à l'autre du concert, on aura pu apprécier la parfaite maîitrise de leur jeu tant sur le plan de la technique instrumentale que sur ceux de l'expression et de l'émotion. Outre ces qualités musicales, il convient de souligner la justesse d'intonation, toujours excellente, et l'unité qui se dégage de l'ensemble : on sent que chacun écoute l'autre et cela réconforte l'oreille... Deux moments forts : "Somewhere Deep Inside" de Lipsky dans laquelle le compositeur parvient à créer une atmosphère originale et soutenue; et l'interprétation remarquable de Libertango principalement due à la qualité des improvisations de Kling et de Morgenstern. En conclusion, "L'Art de Passage de Berlin" était aussi, ce samedi, l'art de passer un moment fort agréable à Montréal.
Gilles Monrosty, Parfum de tango, Montréal, numéro 2, été 2004

Magique, excitant et imposant... Ce métissage innovateur de tango et de New Jazz a ravi les auditeurs du Bürgersaal. Avec virtuosité le quatuor réussit à fusionner pulsation rythmique et tempérament avec des sonorités nuancées, planantes et sensibles. Leur musique invoque des images et des couleurs à l’oeil intérieur de l’auditeur. Le répertoire d’Helmut Lipsky est d’une grande variété et de richesse sonore.
Augsburger Allgemeine, octobre 2003

Les musiciens étaient une véritable révélation, chacun d’entre eux est un soliste extraordinaire. tango, jazz du plus grand cru. Le public était totalement séduit par la performance fulgurante des quatre musiciens, hypnotisé et envouté par leur superbe maîtrise musicale. Techniquement et artistiquement brillant, à couper le souffle - une soirée des superlatifs.
Südthüringer Zeitung, octobre 2003

C’est du Jazz ensorcellé par le parfum dément de tango... La mélancholie en trance et la passion débordante...
Dresdner Zeitung, octobre 2003

L’auditoire, plein à capacité, fut captivé tout long du concert par le lyrisme et la musicalité du groupe... Les musiciens savaient prendre pleinement avantage de tous les ressources de leurs instruments, y inclus les effets de percussions.
Site Web de la “Confédération Internationale des Accordéonistes” (sur le concert à Esztergom en Hongrie, octobre 2003

Tobias Morgenstern et Stefan Kling, ensemble avec la vedette violonistique canadienne Helmut Lipsky ont enthousiasmé un auditoire de presque 2000 personnes. Malgré le fait que leur répertoire de tangos subtils et nuancés ne semblait pas correspondre à l'ambiance populaire du festival, ils furent célébrés euphoriquement et étaient encerclés à la fin par une foule d'admirateurs.
Südthüringer Zeitung, juillet 2003

Les musiciens et leur artiste invité Helmut Lipsky étaient à l'hauteur de leur réputation d'être des musiciens remarquables... Ils ont réussi de fusionner des tendances musicales contrastantes en une texture de pulsations rythmiques.
Gransee - Zeitung, août 2002

Le groupe s'est servi des compositions originales comme points de départ pour une interprétation personnelle et authentique, habillée par les artistes invités avec leur jeu brillant et ludique...
MZ Halle, juillet 2002

Les pulsations du monde du tango... Des musiciens extraordinaires... Les rythmes vibrants et les staccati énergiques vont directement dans le sang, les tournures harmoniques et les soli mélancoliques touchent le coeur. Il est impossible de rester immobile : l'auditoire dodeline de la tête ou du pied. L'ensemble a enrichi le programme par des compositions du prodigieux violoniste Helmut Lipsky. Avec un "encore" les "quatre fantastiques" font leurs adieux au public, sous le tonnerre des applaudissements et des "bravo".
Leipziger Volkszeitung, juillet 2001

La passion brûlante du tango lors d'une nuit fraîche d'été. Une soirée tango brillante haute en carats... Le violoniste canadien virtuose Helmut Lipsky apportait une autre note très précieuse à la soirée. Il se présentait non seulement comme maître de son instrument, mais également comme musicien doté d'une grande sensibilité sachant tirer de son violon des ambiances sonores d'une grande variété. Il dominait également comme compositeur aux talents multiples... L’un des nombreux "bis" avec lesquels les musiciens ont remercié leur public fut une pièce dédiée à sa femme japonaise, pleine de tendresse aérienne et de poésie exotique.
Südthüringer Zeitung, juillet 2001


Le DC Moontide - Helmut Lipsky

Helmut Lipsky possède un long curriculum pour décrire son travail professionnel de compositeur et de violoniste, dont le résultat est l'enregistrement de nombreux DC aux descriptions variées, la composition de pièces pour la télévision, des performances dans le cadre de festivals et l'écriture de partitions pour le théâtre et le cinéma. Son talent a une envergure telle que Lipsky a accompli des projets de cet ordre sur plusieurs continents, commençant en Suisse, son pays d'origine, continuant à New York, où il étudia avec Itzhak Perlman et continuant à Montréal, où il réside présentement.
Possédant un intérêt insatiable pour toutes les formes esthétiques, Lipsky a également intégré des éléments de la littérature, du théâtre, du cinéma et des arts visuels dans sa musique, donnant un exemple qui fait un tour complet des interrelations entre les diverses formes artistiques. Avec le lancement de Moontide, enregistré en Suisse en 1996, Lispky a collaboré avec certains de ses partenaires européens pour donner le jour à ses images impressionistes saisissantes, ses descriptions mythologiques ou dramatiques, voire passionnées, de rencontres humaines...
Don Williamson, jazzreview.com, États-Unis, avril 2005

S'il existait un "Violon rouge" de la note bleue, sans doute appartiendrait-il à Helmut Lipsky. ***1/2
Jean-Christophe Laurence, La Presse, mars 1999

Il est rare de mettre la main sur un aussi beau DC. L'empreinte du talent et de l'âme musicale d'Helmut Lipsky est inéluctablement sur ce disque... Faites le plus beau des voyages en compagnie de "Moontide".
Francine Charette, Club-Culture.com 1999

Moontide - Une excellente production québécoise fera le bonheur de ceux qui cherchent un certain lyrisme, (...) ce très beau disque s'inspire de différents univers sonores, (...) éclaté, mais exceptionnel.
Stéphane Desjardins, Accès Laurentides, juin 1999

Moontide manifeste une belle ouverture sur le monde . (...) Ses paysages sonores (...) nous invitent à des épousailles avec la terre. ***1/2
D. Lelièvre, Voir, Québec, mai 1999


Le DC Chus, avec des compositions, arrangements et le violon de Helmut Lipsky

Lovely voice and wonderful arrangements... The lyrics of some of the songs are very meaningful and the violin of Helmut Lipsky sings wonderfully. If you like beautiful music, try it, you will like it.*****
Paul Howard Holden, Amazon.com, 2000


Le film L'Espérance de Stefan Pleszczynski

Une musique magnifique, le violon de Lipsky est ondoyant et extrêmement séduisant...
Francine Moreau, émission "Trames sonores", Radio-Canada, avril 2004

On se laisse prendre aussi par les décors, la musique d'Helmut Lipsky et les paysages spectaculaires du film...
Jocelyne Depatie, Guide Culturel, Radio-Canada

La musique [d'Helmut Lipsky] appuie bien l'univers du récit.
Gilles Carignan, Le Soleil, avril 2004


Avec Karen Young dans "Le Cantique des Cantiques"

Il faut souligner la performance brillante et hautement personnelle du violoniste Helmut Lipsky.
Régis Tremblay, Le Soleil, Québec, octobre 2000

... impossible de se passer de l'extraordinaire Helmut Lipsky au premier violon.
Sylvain Cormier, Le Devoir, septembre 2000

Il ne faut pas oublier les échanges concluants entre les chanteurs et instrumentistes (le violoniste Helmut Lipsky notamment)...
Alain Brunet, La Presse, septembre 2000


Le trio à cordes Lipsky - René - Longsworth

Une expérience stimulante et gratifiante
Rares sont les concerts de "musique contemporaine" qui arrivent à de tels sommets d'inspiration... j'ai découvert trois musiciens de haut vol, trois instrumentistes hors du commun et trois oreilles qui, par leur qualité, interrogent les nôtres hors des sentiers battus... Ce qui ressort le plus est la qualité à la fois de l'écoute et d'imagination de ces trois instrumentistes. Leur chimique complicité, partagée avec le public - -qui, ravi, s'épuise avec bonheur tout de même à suivre et à comprendre ce qui s'invente devant lui - , fait que nul trou ne se ressent.
François Tousignant, Le Devoir, le 8 avril 2000

Éloge de l'improvisation inspirée
Tous ces instrumentistes sont plus que chevronnés... Solides et convaincus, c'est ainsi qu'ils nous intéressent pendant une bonne heure et demie... Ils deviennent rêveurs, badins, sérieux ou lyriques, le ton variant avec une telle beauté organique qu'on oublie qu'une partie de la musique s'improvise. Ce qui frappe le plus, c'est cette impression que ces artistes ont tellement travaillé leur partition (qui n'existe pas) qu'ils arrivent à se dégager du texte latent pour ne plus faire que corps avec l'événement musical... Le ton global de la soirée fut de la même teneur : une perfection instruentale, un professionnalisme musical, une imagination souvent poétique et agissante... L'événement, à ce chapitre fut un franc succès et appelle une poursuite.
François Tousignant, Le Devoir, le 10 avril 2000

...Fièrement différents, ils tissent des atmosphères qui leur permettent de libérer leurs énergies créatrices, chacun arrivant avec des propositions sur lesquelles sont illico bâties des pièces façonnées à l'impro. Musiciens passeurs qui évoluent tous trois entre la musique classique, le jazz et la musique actuelle, ils nous font profiter de leur brio libéré sur les plates-bandes de la jouissance musicale instantanée.
Ici, Montréal, avril 2000


Crime et châtiment, musique pour l'adaptation théâtrale de Igor Ovadis

... le tout appuyé admirablement par la musique quasi incessante de Helmut Lipsky, telle la lancinante trame sonore d'un film de suspense.
Marie-Christine Blais, La Presse, Montréal, février 2000

La musique obsédante de Helmut Lipsky bat comme un coeur en alerte, scandant les trois heures et quelque du spectacle.
Solange Lévesque, Le Devoir, janvier 2000

Dans l'évocatrice trame sonore de Helmut Lipsky, un choeur de voix crée un écho torturé et railleur aux tourments de Raskolnikoff.
Marie Labrecque, Voir, Montréal, février 2000

... une bande sonore qui combinait habilement voix et musique, contribuait à l'animation de cette fresque grouillante... le spectacle pourrait être comparé à un moteur complexe dont le rouage et le fonctionnement énergique émerveillent... quel plaisir dans toute cette virtuosité!
Alexandre Lazaridès, Cahiers de théâtre, JEU, septembre 2000

Excellente musique.
Michel Paul Beaudry, Club Culture, février 2000


Concerto pour violon, scie à chaîne et meute

Les Amossois ont écouté religieusement le concerto d'Helmut Lipsky pour violon, scie à chaîne et meute (...). C'était beau, c'était émouvant, mais surtout, c'était tout ce que l'art actuel devrait être : étrange, envoûtant, dérangeant, mais aussi joyeux, ouvert sur le monde et prêt à lui tendre la main.
Nathalie Petrowski, La Presse, juillet 1997

Fantasmagorique!...Helmut Lipsky, appuyé de ses comparses au violoncelle, à l'égoïne, au clavier, au synthétiseur, et au gaz de la fameuse tronçonneuse,, a enfin donné un grand frère à la non moins fameuse chanson La Bitte à Ti-Bi de Raoul Duguay... Les Amossois ont assisté d'abord perplexes puis enthousiastes, à cette création alliant le concert des ouaouarons au staccato des trains, la plainte du violon au lyrisme grinçant de la tronçonneuse.
Camille Beaulieu, La Presse, Montréal, juillet 1997

Une trame de fond, maniant complainte lancinante et rythme pop en une musicalité séduisante élaborée en studio, soutiendra sur scène cet incroyable duo entre la scie à chaîne et le violon, pendant que la meute de coureurs arrive au son des sifflets et libère dans la nuit étoilée une multitude de bâtons luminescents accrochés à des ballons noirs. La foule sera médusée... Helmut Lipsky a non seulement intégré les couleurs locales collectives, mais il a aussi ajouté au contenu musical des dimensions environnementales et transculturelles. Un grand moment.
Guy Sioui Durand, Vingt milles lieux/lieues sur l'esker, 1998

Un événement exceptionnel qui a fait appel à des dizaines de participants... La nuit venue, près de quatre mille personnes se masseront le long de la rivière Harricana pour y vivre une soirée magique... Échange échevelé entre scie à chaîne et violon, passage d'un monde brut, sauvage, reposant dans sa torpeur millénaire à un monde construit, modifié, "culturel". Ce concerto, à la fois déroutant et séduisant, implantera la fête populaire au coeur du Symposium et l'y maintiendra jusqu'au déploiement final.
Alain-Martin Richard, Vingt milles lieux/lieues sur l'esker, 1998

Les différents tableaux gagnaient la mémoire collective des gens. ceux-là reconnaissaient facilement les références ; l'inquiétude des premiers pas, le grand feu de 1913, l'industrialisation...
Bernard Lamarche, Le Devoir, juillet 1997

Une oeuvre étonnante et surprenante! La fin colossale a enthousiasmé la foule qui a accordé de chaleureux applaudissements aux artistes et au compositeur.
Luc Landry, Écho, Amos, juillet 1997


Film L'homme perché de Stefan Pleszczynski

Quelle belle écriture! La musique de Lipsky est d'une grande beauté : fraîcheur, humour, poésie... Elle est pleine d'esprit et de créativité, extrêmement intéressante, savoureuse et irrésistible!
Francine Moreau, émission "Trames sonores", Radio-Canada, mars 2004

On sent d'emblée la main sûre mais discrète de Pleszczynski " que ce soit dans la composition des belles images de Pierre Jodoin; dans l'utilisation de l'excellente musique de Helmut Lipsky; ou dans la direction de très bons acteurs (Arbour, Sabourin, Paquette...).
Georges Privet, Voir, Montréal, mars 1997

L'homme perché est un film phénomène... Soin apporté à une image qui s'amuse, bonne musique de Helmut Lipsky, gags légers mais rigolo, ce film peut plaire à un public assez large...
Odile Tremblay, Le Devoir, mars 1997

Des artistes de la liste "A" comme Sabourin et Lipsky... Projeté sur la partition minimaliste et inquiétante de Helmut Lipsky, la caméra suit des coqs criants, des cochons qui sommeillent, des souris observatrices, des hibous, des moutons... La scène est bucolique, à la Hitchcock... Des scènes hilarantes, méritant la comparaison avec Fellini, sont accompagnées parfaitement par une musique suave, ironique et clownesque. ***1/2
John Griffin, The Gazette, Montréal, mars 1997


Le DC "Kryptos" de Andreas Vollenweider

Pendant notre travail ensemble, j'étais souvent émerveillé de la façon dont ses doigts dansent sur la touche du violon. Helmut est un excellent improvisateur, une capacité qui est rare dans le monde de la musique classique.
Andreas Vollenweider, http://www.sonymusic.de

La brochette d'artistes sur Kryptos est incroyable. Comme exemples parmi d'autres, mentionnons le maître-saxophoniste américain Michael Brecker, le choeur sud-africain Ladysmith Black Mambazo, le violoniste canadien Helmut Lipsky...
Michael Fuchs-Gamböck, Impact Music, Suisse, 1997


L'exposition multi-média Le Port

Une des productions les plus intelligentes que j'ai jamais vu. À voir absolument!
René Homier-Roy, télévision de Radio-Canada 1995


Tricycle

Au détour d'une soirée de fin d'hiver, au moment où plus un seul combustible ne réussit à réchauffer le corps et qu'on arrive même plus à discipliner son mal de vivre et à dissimuler son vague à l'âme, c'est précisement là que se passe la rencontre inattendue, celle qui fait du bien. Imaginez, dans le temps, ici à Montréal, dans la Chapelle historique du Bon-Pasteur, Tricycle, un ensemble acoustique formé de Helmut Lipsky au violon, James Gelfand au piano et Michel Donato. La rencontre fut magique et l'âme quelque peu rafistolée.
Michel Dupuis, Le Magazine Son & Image, Montréal, juillet / août 2005

* * * * * One of the best CDs I own.
I first heard Tricycle on a Bravo! special back in 1999. Introduced as a fusion of classical and jazz, it is still to this day one of the more interesting concerts I've heard. I picked up this CD in 2002 after being reminded of the group, and am pleased to say that it is one of the most listened to recordings in my collection.
... I appreciated both the musicality and the diversity of style exhibited on the album. Much of it is pretty 'down-tempo,' essentially great to have on if you're just chilling out or want something easy to listen to. This isn't to characterize the music as simple, as it is quite intricate and will reward the careful listener. Overall a great buy -- I would pick up a subsequent CD of theirs in a heartbeat if one is published.
Vincent Keating, IL United States, Amazon.com, novembre 2003

... formé de trois incontournables de la scène montréalaise : le contrebassiste Michel Donato, le violoniste Helmut Lipsky et le pianiste James Gelfand.
Alain Brunet, La Presse, octobre 1998

Quelle belle combinaison: violon classique, basse jazz, piano en tous genres. Un mélange de sons originaux, livré par trois musiciens solides, capables d'improviser et de lancer des compositions virtuoses avec beaucoup de raffinement; en somme une sonorité acoustique opulente, rêveuse et réjouissante.
Jurgen Gothe, Palmarès "Les meilleurs 24 disques compacts canadiens de l'année 1998, tous genres confondus". CBC Disc Drive, et "En route, Inflight magazine" de Air Canada, Déc. 1998

Carrefour du jazz classique et du classique jazzé, avec un détour dans le world beat, Tricycle est le fruit d'une triple expérience: celles du jazzman Michel Donato, du violoniste de formation classique Helmut Lipsky et du pianiste polyvalent James Gelfand.
Régis Tremblay, Le Soleil, Québec, février 1998

Tricycle (Helmut Lipsky, Michel Donato et James Gelfand) est né de la réunion de trois des plus brillants instrumentistes du jazz québécois (...). Le supergroupe du jazz acoustique québécois.
Revue du Festival International de Jazz de Montréal, juillet 1995

Tricycle - All three are virtuosos with a voracious appetite for different musical idioms.
The Gazette, Montréal, juillet 1995

Tricycle, (...) musiciens montréalais dont la réputation n'est plus à faire.
Alain Brunet, La Presse, juillet 1995

Voici un disque qui plaira aux amateurs qui aiment à la fois le jazz et le classique, la mélancolie et le romantisme. (...) Ce DC inspiré explore de nouveaux sentiers (...). Tricycle est un véhicule tout-terrain à suivre!
Mario Cloutier, Le Devoir, novembre 1995

Le tout nouvel album éponyme du groupe Tricycle nous saisit d'émotion dès l'ouverture (...). Un jazz tressé d'influences qui saura atteindre les mélomanes de tous genres musicaux.
Le Musicien, juillet 1995

The music is all skillfully executed, for example the tight violin/piano lines (...) and the grand sweep of Vivaldilirium.
Jim Little, Hour Magazine, Montréal, juillet 1995

Prenez trois musiciens de calibre international, ajoutez-y un produit d'une qualité tout aussi remarquable, une musique audacieuse tout en restant très mélodique, virtuose tout en demeurant très accessible. Qu'est-ce que vous obtenez? Tricycle. Un jazz hautement original qui s'écoute comme on savoure un délicieux élixir, raffiné, subtil et sophistiqué. Un jazz qui (...) a toute la classe et le calibre d'un Lyle Mays ou d'un Eberhard Weber, (...), et servi par trois purs virtuoses.
Michel Phaneuf, Le Canada français, février 1994

I must say, the Tricycle Concert was incredible!!! I heard ensemble playing that at times rivaled the most complex digital sequences imaginable. Each member of the trio truly is a world-class musician. The evening was most inspiring. (...) What a remarkable team.
Dr. Sonny Burnette, Director, Foust Cultural Enrichment Program, USA, février 1994

Tricycle performed quite a scintillating concert (...). The pieces were marked by a wide dynamic range and ample variation between ungodly speed and slow atmospherics (...) Nothing less than sheer amazement.
Bill Randall, The Georgetonian, USA, février 1994

Parfois une musique, un groupe échappent à toutes définitions ou catégories. Sans prétention, mais avec un bagage impressionnant d'expériences, certains musiciens en viennent à créer du jamais entendu, un genre en soi. Tricycle, c'est cela et plus encore. De la musique acoustique à son meilleur (...). Des artistes d'une grande maturité musicale. Tricycle n'a pas fini de nous étonner en nous en mettant plein les oreilles.
Musicien québécois, 1994

(...) Un spectacle qui aborde un nouveau continent sonore, une fusion acoustique regroupant des éléments de jazz, de nouvel âge, de musique classique autant qu'actuelle ou ethnique. La réputation de ces trois excellents musiciens fait déjà de Tricycle la révélation de l'année sur la scène du jazz montréalais.
Mario Cloutier, La Presse, 1994

Jazz...de chambre serait le terme approprié pour parler de cette formation qui emprunte à la musique de chambre sa forme d'écriture, à la musique actuelle une certaine audace et au jazz même son classicisme. (....) chaleureux, d'une riche structure rythmique et mélodique.
Léonce Gaudreault, Le Soleil, Québec, 1994


Le DC "Good News on the Crumbling Walls" de Karen Young

Karen Young est soutenue par de très bons musiciens, spécialement par le violiniste Helmut Lipsky, jouant étonnamment comme le jeune Stéphane Grappelli.
RPM Magazine, Toronto, juillet 1996


Le DC "Extasias" de Robert Lafond

Cet album est transcendé par des musiciens hors pairs tel Helmut Lipsky...
Claude Dornier, Paroles et musique, octobre 1996


Le DC Unclassified de Helmut Lipsky

Unclassified de Helmut Lipsky : une musique spectaculaire, elle n'en reste pas moins une musique du coeur. Un disque étonnant, d'une écoute prenante...
Le Nouvelliste, Trois-Rivières, mai 1992

Helmut Lipsky a su faire de son violon une voix tout à fait originale qui s'écarte résolument du violon-jazz traditionnel et qui doit beaucoup à sa formation classique.
Voir, Montréal, juillet 1992

(...) le violon brillant de ce musicien accompli.
Voir, Québec, août 1992


Première de Éléments au Musée d'art de Joliette

La pièce a suscité un enthousiasme général. C'est une musique qui accroche l'auditeur, qu'il soit mélomane, amateur ou connaisseur... La représentation musicale des éléments est très convaincante (c'est le plus beau feu qu'il m'aie été donné d'entendre!). Le style de M. Lipsky trouve ses sources tant dans le jazz, que le minimalisme, le postromantisme et l'avant-garde. Il en résulte une musique originale, défiant toue catégorisation. Une musique inspirée.
Louise Morand, l'Artefact, volume II, no. 4, 1992


Spectacle "Absolut" avec la danseuse Lucie Grégoire et Maurice Bouchard

Le violon de Helmut Lipsky accompagne de bout en bout avec une force magique la performance phénoménale de Lucie Grégoire. Un grand moment hautement acclamé!
Régis Tremblay, Le Soleil, Québec 1990

Absolut - Une musique d'une beauté extraordinaire...
Mathieu Albert, Le Devoir, Montréal, 1990


Le DC de André-Gilles Duchemin avec "Trois images pour flûte et ensemble de jazz"

* * * * Helmut Lipsky, un (Leonard) Bernstein canadien...
Dominique Ivoire, revue Compact, France, décembre 1989

Les Trois Images de Helmut Lipsky sont écrites dans un esprit très "soirée Grand Échiquier" pour montrer que l'artiste et la musique n'ont pas de frontières...
Jean-Yves Bras, Diapason Harmonie, France, janvier 1990

L'éclectisme du programme, et l'exécution brillante et sensible de Duchemin raviront les amateurs de flûte.
Claude Gingras, La Presse, juillet 1998

Cette collection originale et imaginative d'oeuvres modernes pour flûte est un délice du début à la fin...Le disque offre des oeuvres d'un intérêt considérable : Ibert's miniature, Martin's Ballade et un trio charmant et efficace de pièces dans le genre de Claude Bolling pour flûte et ensemble de jazz.
Revue du disque, 1989


Le trio Sonos

Le trio Sonos offrait aux mélomanes une exécution impeccable ...
Le nouvelliste, Trois-Rivières, janvier 1991

L'auditoire était comblé par la beauté de la musique et l'exécution magistrale du groupe. Pour le Finale, les membres du trio s'unirent pour éclater dans une apothéose dont la brillance enthouisiasma l'auditoire. Leur art nous a ébloui dans un magnifique concert qui nous a fait éprouver des jouissances esthétiques uniques.
Léo Cloutier, Le nouvelliste, Trois-Rivières, janvier 1988

La pièce "Rouages d'un rêve" de Helmut Lipsky est séduisante...
Carol Bergeron, Le Devoir, 1991


En concert à New York

(...) the wailing violin of virtuoso Helmut Lipsky.
New York Native, mai 1989


Mélosphère - Helmut Lipsky

Mélosphère est à l'image de son concepteur : brillant, cultivé et cosmopolite. Une musique sans frontières.
Michel Laverdière, La scène musicale, Montréal, novembre 1987

Lipsky's playing is less bombastic than that of Ponty and less strident then the late great Seifert's.
John Sobol, The Gazette, Montréal, juillet 1988

La mélosphère de Lipsky est un monde où le jazz, le rock, le blues, le funk, les musiques espagnoles et tziganes et les structures classiques cohabitent en harmonie et où souffle un vent de fraîcheur avant-gardiste.
La Scène Musicale, janvier 1987

To the short list of Canadian fusion bands - Manteca, Skywalk, Uzeb - add one more, Helmut Lipsky's group Melosphere (...). There are enough similarities to sustain a comparison with Jean-Luc Ponty (...) but there is much more here (...). The compositions on this strong debut recording have shape, mood, dynamic and texture...
Mark Miller, The Globe and Mail, Toronto, novembre 1986

Helmut Lipsky, Mélosphère : This is a virtuosic example of jazz fusion. (...) fusion fans are sure to enjoy his work. The compositions are solid, the performances are flawless, and the production is top-notch.
Keyboard Magazine, Los Angeles, octobre 1986

Melosphere - an exciting performance of upbeat jazz-fusion (...). The soloists were able to push their solos to the edge. Lipsky's playing was reminiscent of Jean-Luc Ponty.
Martin Siberok, The Gazette, Montréal, juillet 1985

Mélosphère - Des images mises en musique et livrées avec virtuosité (...). Une musique accessible. À la fois populaire et sophistiquée. Et surtout, truffée de surprises!
Pierre Boulet, Le Soleil, Québec 1984

Pendant le spectacle, on se laisse littéralement aspirer. Mélosphère, c'est une musique où le corps danse pendant que la tête rêve.
Entr'acte, Québec, 1984

Lipsky est un violoniste plein de talent comparable à Jean-Luc Ponty avec le coup d'archet approprié et une jolie touche de romantisme...
Mark Miller, The Globe and Mail, Toronto, novembre 1983

Le phénoménal Lipsky, en plus de son bagage musical, nous fait découvrir son étonnante personnalité. Il ne joue pas du violon, il le fait vivre. Certes l'événement musical à l'Anglicane cette année.
Serge Geoffrion, Le Peuple-Tribune, Lévis 1983

Sa musique nous entraîne à travers une multitude d'atmosphères contrastantes et nous fait entrevoir des mondes imaginaires insoupçonnés.
La Tournée, Québec, mars 1983


Le duo Helmut Lipsky et Mariko Sato

Les deux musiciens très professionnels ont démontré versatilité, une grande maîtrise d'exécution et compréhension des oeuvres interprétées... Ils ont su communiquer les sentiments contenus dans les oeuvres, et surtout, ils nous ont fait partager cette intimité, cette complicité entre deux musiciens, deux instruments. Ce concert présenté par le duo mérite bien le qualificatif "excellent".
Louis-Marie Lapointe, Progrès-Dimanche, Alma, 1985

Mariko Sato et Helmut Lipsky ont donné un spectacle de qualité. Tous deux communiquent au public leur amour de la musique. Et c'est de cette musique qu'ils nous transmettent diverses émotions,...tendresse, mélancolie ou encore joie et allégresse.
Doris Larouche, Le Point, Lac St-Jean, mars 1985

Un magnifique concert! Les mélomanes de notre région ont eu droit à un merveilleux concert. Les murs de l'auditorium ont vibré aux sonorités dégagées par les deux virtuoses réputés en performance.
Journal de Joliette, novembre 1980

Le public a eu l'occasion d'apprécier un concert d'une rare qualité.
L'Union, St-Jérôme, novembre 1981


En concert en Suisse

Lipsky démontrait une grande maîtrise, confiance, de l'élan, une expressivité chaleureuse et une riche sonorité. Un virtuose plein de talent.
Der Landbote, Suisse, mai 1979

À souligner le travail remarquable du premier violon. Helmut Lipsky se distinguait par une grande musicalité et une sonorité chaleureuse.
Annina Gilli, Der Landbote, Winterthur, Suisse, 1974

Étonnant et ravissant le violoniste Helmut Lipsky qui a su transmettre des impulsions d'une grande puissance au jeu collectif des musiciens.
Berner Bund, Suisse, décembre 1973

Helmut Lipsky, un jeune violoniste de calibre international. Ses solos étaient comparables, du point de vue de la musicalité et de la virtuosité, à ceux d'un Jean-Luc Ponty ou d'un Jerry Goodman.
Zürcher Oberländer, Suisse 1973

Le Rock-Paganini de la Suisse...
Willy Bischof, Schweizer Radio und Fernsehzeitung, Suisse 1972

Violoniste diaboliquement bon...
POP Magazine, Suisse 1972

La vraie attraction du concert était le groupe de Helmut Lipsky... Ils ont provoqué des grands applaudissements soutenus des jeunes auditeurs, hautement mérités grâce à la subtilité de leur performance.
Der Landbote, Suisse 1968

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